Séjour du 23 au 27 février 2013

Nadine nous a préparé un joli programme pour ces cinq jours.

Le Queyras se dévoile sous ses différents aspects entre passage dans les forêts et montée jusqu'à pratiquement 3000m.

Et quelle belle neige fraiche que nous avons rencontrée presque partout - à nous les glissades, sauts et course dans les descentes.

On en redemande.

Germain

Du dimanche 24 février au samedi 2 mars 2013

Du soleil, il y en a eu.

Il est vrai, pas en continu.                

http://youtu.be/lfNG_sS0eUA

Souvent, dans la montée, contre les éléments,

Nous eûmes à lutter. Mais quel ravissement

Lorsqu’un souffle de vent, soudain, les balayait

Révélant à nos yeux émerveillés

Les cimes enneigées, la neige veloutée

Et la promesse d’une ivresse inégalée

A glisser les pentes inviolées.

Dimanche 17 février 2013

Nous sommes un petit groupe de 9 pour découvrir ce petit massif du Mathésyme entouré des grands du secteur: Belledonne, Taillefer, Dévoluy, Vercors et Chartreuse

https://picasaweb.google.com/maillard.sasfee.eric131/SommetDeBeauregardEtDeLaPeyrouseMassifDuMatheysineMontagneDuConestIsere?authkey=Gv1sRgCOXWoOig5vng3gE


Dimanche 17 février 2013

Jolie randonnée à ski autour du Roc Rouge et du Rocher de Sarvatan, qui nous a permis de découvrir une combe secrète dans le massif de la Lauzière sous la conduite de Jean – Paul.

https://picasaweb.google.com/102664975016051038686/TourDuRocherDeSarvatan?authuser=0&authkey=Gv1sRgCPqMzbiPg-jzdA&feat=directlink

Du 4 au 8 février 2013

CERCES avec deux C comme Chèvres,

ou comme Chiara (prononcez kiara avec l’accent sur le kia) : elle est l’amphitryon du refuge des Re Magi dans la Vallée Etroite. Il faut bien que je cite dans cette relation de randonnée, l’un des habitants de ce massif qui nous ont ouvert leur porte lorsque fourbus de fatigue, transis par les rafales de neige et le regard perdu à force d’essayer de percer le brouillard, nous nous sommes présentés devant leur havre chaud et sec. Mais Nico le gardien du refuge du Chardonnet et Riton, le taulier de celui de Laval, loin pourtant d’être des ours solitaires et ombrageux, ont trop la tête de l’emploi pour que nous, ou du moins la majorité mâle de notre petit troupeau, ne lui préfère la belle italienne, malgré son gite/refuge mal foutu.

4 février : après une traversée matinale de Grenoble qui n’en finit plus et une montée au Lautaret sous la neige derrière une saleuse, nous abandonnons enfin la civilisation motorisée au Pont de l’Alpe. Montée au col des Aiguillettes et celui du Chardonnet, 900m plus haut. Sur l’arête tôlée, les bâtons (nos 2 pattes avant) servent d’arcs boutants pour tenir debout dans les rafales. Descente dans une poudreuse à peine croutée alternant avec des plaques vitrifiées. Arrivée avec un rayon de soleil providentiel à la bergerie du Chardonnet. Plus question de passer le lendemain, comme prévu, par la combe de Casse Blanche, jugée trop dangereuse. Nous rejoignons l’enclos de Laval par le chemin des écoliers, avant de faire, dans le vent persistant, un beau tour des rochers de Moutouse, 700m plus haut, au dessous de la pyramide blanche de la pointe des Cerces.

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