Dimanche 29 avril 2018
La difficulté ne fut pas l'ascension des trois dents mais le fort vent qui soufflait par rafales et nous déstabilisait .....Philpippe a mis en images cette journée...Bernard et Hélène s'en souviendront ! voir le lien https://bit.ly/2wfSYk3
Week End 21 et 22 avril 2018
Départ de Lyon très tôt ce samedi 21 avril car les températures sont très élevées en cette fin de mois d’avril. On démarre à 8h 15’ de Val d’Isère du parking du Chatelard à 1880 m, on remonte le vallon de la Calabourdane jusqu’au Manchet, puis on rejoint le refuge du Fond des Fours.
On remonte le vallon des Fours, bien plat !
On arrive au pied de la Pointe de Mean Martin.
Après avoir franchi un petit col à 3020 m, on redescend dans une neige un peu ramollie vers le refuge
de la Femma, où un mignon petit chalet nous est attribué pour la nuit.
Le lendemain, lever matinal pour profiter du bon regel et monter, d’abord par des pentes douces, puis plus redressées, vers la Pointe de la Sana (3436 m).
En vue du sommet.
Puis descente dans une neige transformée sur le Col des Barmes de l’Ours
Descente grand large ensuite sur le glacier des Barmes de l’Ours.
Et final dans les gorges du Charvet avant de rejoindre Val d’Isère.
Les participants : Alexis, Cécile, Christophe, Thierry, Tristan, Michèle, Olivier et Michel
Du 19 au 24 mars 2018
Au départ, c’était un raid … Un groupe de 9 skieurs de randonnée de l’Ouest lyonnais part pour le tour du Viso, du 19 au 24 mars.
Lundi 19 mars : Pic Traversier
On laisse les voitures au Pont de Lariane, au – dessus de Molines en Queyras.
Très beau temps. On monte d’abord au Col de Longet, puis au Pic Traversier (2882 m
Au sommet, un problème technique empêche Jacques de rechausser ses skis pour la descente, mais un demi – heure de bricolage résout le problème !
Belle descente jusqu’au – dessous de la Chapelle de Clausis, puis on remonte tranquillement jusqu’au Refuge de la Blanche (2500 m).
Mardi 20 mars : Grand tour de la Tête des Toillies
La veille au soir, le gardien du refuge Bagnour (en Italie) nous a déconseillé de monter à son refuge à cause des accumulations de neige en altitude. On doit donc abandonner l’idée de ce tour du Viso.
Sur les conseils de la gardienne du refuge de la Blanche, on décide de réaliser un grand tour de ce beau sommet qu’est la Tête des Toillies, en franchissant cinq cols, en passant deux fois en Italie et en
changeant deux fois de département … Vaste programme !
On rejoint d'abord le Col de Chamoussière (2884 m), puis le Pic de Caramantran (3025 m).
Du pic, on plonge plein sud côté italien jusqu'à environ 2740 m, où l'on repeaute.
On monte alors plein ouest au Col de Saint Véran, puis on suit l'arête reliant le col à Rocca Bianca jusqu'à 2940 m.
On peut alors descendre le beau vallon du Blanchet jusqu'au lac Inférieur (2746 m).
On repeaute alors pour rejoindre le col Blanchet (2897 m) par une courte montée facile.
Du col, on plonge plein sud côté italien pour passer près du col de Longet. On se dirige alors plein Ouest puis Nord après le ravin de la Noire pour rejoindre le Col de la Noire (2955 m).
On regagne le refuge de la Blanche par de belles pentes Nord gavées de poudreuse.
Journée bien remplie, mais bien usante pour les organismes !
Mercredi 21 mars : Le Bois des Amoureux
Au lever, il neige et il y a beaucoup de vent. On décide de descendre sur Saint Véran, puis de regagner les voitures au Pont de Lariane par le Bois des Amoureux. Descente longue jusqu’à Saint Véran, puis bonne séance de skating pour remonter la piste de ski de fond jusqu’aux voitures.
Nous voici revenus dans la vallée et nous nous installons pour deux nuits au gîte des Astragales, à Ville-Vielle.
Jeudi 22 mars : Sommet de la Querlaye
Le beau temps est de retour. Nous partons d’Abriès pour le Sommet de la Querlaye (2868 m). Montée par la forêt de Marassan, puis par les Prés de la Lauze. Grosse poudreuse qui nous oblige à tracer dès la sortie de la forêt.
Le sommet est protégé par une belle corniche que nous devons contourner.
Descente très facile dans les mélèzes grâce à la quantité de neige accumulée.
Vendredi 23 mars : Tour du Pic du Jaillon
Le temps est toujours au beau fixe.
Nous partons de Brunissard vers les Chalets de Clapeyto, puis nous gravissons le Col de la Rousse (2515 m).
On redescend ensuite au Lac Lauzon, où nous remettons les peaux.
Une montée sous un chaud soleil nous conduit au Col de Combe Laboye (2563 m).
De là, belle descente (encore en poudreuse !) par le ravin de Clapouse jusqu’à Arvieux.
Samedi 24 mars : L’Eypiol
Pour la dernière nuit, nous sommes installés au gîte du Cassu, au Roux d’Abriès : joli cadre, bons plats, boissons et chansons sont au programme de la dernière soirée.
Le mauvais temps devant arriver dans la journée, nous choisissons une course courte au départ du gîte : l’Eypiol (2550 m).
Nous passons d’abord au hameau de Valpréveyre, puis sous la conduite de Cédric, nous montons par le Bois de l’Issartin jusqu’à l’Eypiol : au sommet, nous touchons presque les nuages qui arrivent de l’Italie.
Encore une belle descente dans les mélèzes pour terminer ce séjour qui a eu le nom de raid pendant deux jours.
Les participants : Bruno, Patrick, Jacques, Christine, Jean-Luc, Cédric, Michel, Christophe et Catherine.
Du dimanche 8 au 14 avril 2018
Ce raid s’est déroulé en Autiche, avec dix skieurs de randonnée du CAF de l’Ouest Lyonnais dans le massif du Stubaï : ce massif est situé au sud d’Innsbruck, non loin de la frontière italienne,.
Dimanche 8 avril : Le groupe part de Lyon le samedi 7 avril, une partie s’arrête pour la nuit en Autriche, près du départ du raid, l’autre partie en Suisse. Les deux groupes démarrent le raid le dimanche par la montée au refuge Franz Seen (2145 m), l’un dans la matinée, l’autre en milieu d’après - midi : nous montons au milieu de chalets pittoresques, puis nous traversons des résidus d’énormes avalanches.
Le refuge Franz Seen est un véritable hôtel d’altitude avec chambres individuelles, chauffage central, douches chaudes, salles de séminaire … Nous nous contenterons des dortoirs, mais profiterons de
toutes les autres commodités.
Lundi 9 avril : le temps est couvert, mais pas de précipitations. Notre premier objectif est le col Kräulscharte (3069 m) par le glacier Sommerwand. La montée se fait sur une neige bien dure et le vent nous glace en arrivant au col. Là, les choses sérieuses commencent pour rejoindre le sommet de l’Inneres Sommerwand (3122 m) : la croix du sommet s’atteint par une arête peu difficile, mais bien aérienne et qui nécessite piolet et campons.
Mardi 10 avril : le beau temps est de retour, nous remontons le long vallon de l’Alpeiner, puis obliquons sur le glacier Verborgen – Berg
Celui – ci conduit à un cirque dont la seule échappatoire est le col Turmscharte (3126 m), que nous devons passer les skis sur le dos, avec crampons et piolet, bien aidés par une corde fixe. On débouche alors sur le large plateau supérieur du glacier Berglas.
De là, nous gagnons le Wildes Hinterbergl (3288 m) pour certains, ou une antécime (3266 m) pour d’autres
Magnifique descente du glacier Berglas jusqu’au refuge.
Mercredi 11 avril : Encore grand beau temps pour l’étape qui doit nous faire passer du refuge Franz Seen au refuge Amberger
Longue montée sur le majestueux glacier Alpeiner et son « mur » de séracs.
Puis nous arrivons face à la difficulté de la journée : le col Wildgratscharte (3168 m).
Pour le passer, on doit remonter skis sur le sac une pente de neige à près de 45°. De l’autre côté, la descente sur la glacier Schwarzenberg se fait par un couloir bien raide encombré de pierres : une corde et beaucoup d’attention nous permettent de franchir ce passage, mais cela prend pas mal de temps à dix !
La suite nous offre une très belle descente jusqu’au refuge Amberger (2135 m), qui se termine comme toujours ici par un long plat.
Jeudi 12 avril : Il neige, il y a du vent, presque aucune visibilité.
On perfectionne notre technique à divers jeux de carte … et aussi celle des mouflages dans la salle d’escalade du refuge.
Vendredi 13 avril : Au lever, il neige toujours fortement, mais la météo prévoit une amélioration. On part avec un temps bien couvert : nous devons absolument franchir le Daunjoch (3057 m) afin de basculer dans la vallée de Neustift pour récupérer nos voitures.
La montée se fait sur l’immense glacier Sulztal.
Arrivés vers 3000 m, les quantités de neige accumulées depuis la veille se font importantes : la col Daunjoch ne nous semble pas très sain. On se dirige vers un autre col, le Daunscharte, mais lui aussi semble bien chargé.
Alors, par prudence, on se décide à redescendre au refuge Amberger : descente magnifique dans au cours de laquelle on aura d’abord une belle poudreuse, puis de la neige transformée.
Du refuge, on descend dans la vallée au village de Gries Im Sulztal … et on se retrouve à 95 Kms de nos voitures ! Mais notre interprète Thierry nous trouve alors un plan d’enfer pour revenir en 1h 30 ‘ à nos voitures.
Les participants : Laurent, Jean-Luc, Christine, Michel, Jacques, Cédric, Allen, Thierry, François et Thierry.
Du 1 au 7 avril 2018
Au dessus des gorges du Chassezac
Pêche pour le repas du soir dans les gorges de La Baume
et voilà le repas ! .....
Le cirque de Gens au-dessus de l'Ardèche
avec des passages plus techniques
4h au bord des gorges de l'Ardèche....magnifique parcours entre sangle rocheux, plages de sable et de galets
Nous terminerons par un parcours à partir de Vogüe
La belle équipe des 12 : André, Martine, Bénédicte, Agnès, Bruno, Brigitte, Paul, Elisabeth, Marie, Florence ,(Alain se cache et Irène fait les photos)